Ce n'est, pour vous qu'un texte, un poême, mais pour moi ?

            

Cette nuit là était une mauvaise nuit. Le genre de nuit que l'on aime pas. Noir, froide, triste.

L'humidité de la pluie tombée la veille, rendait l'air presque palpable.

Dans le ciel, un pauvre restant de lune, que les nuages cachais, essayais d'éclairer, d'un blanc blafard, cette rue enfermé dans sa nuit.

Cela faisais des années, que tout les soirs, elle passais dans cette rue a la même heure.

Mais cette nuit là; alors qu'elle longeait cette rue une fois de plus, son attention fut attirée par un amas. Blanc, sombre, énorme...

Elle s'approcha, tendis la main.

C'était un énorme amas de plumes...

Au moment ou elle sentis le contact sous ses doigts, une plainte se fit entendre.

Entre peur et curiosité, elle retira promptement sa main. mais curieuse, elle tendis a nouveau la main, et, délicatement, souleva un bloc de plume.

Elle fus surprise de son poids.

Sous ces plumes gisais un homme. C'était un ange, et ce qu'elle avais déplacée n'était autre que son bras...

Il était là, inconscient, elle essaya de le détailler à la lueur de la lune, le bouger, mais rien ni faisait, Quand elle aperçue, seul signe de vie dans toute cette noirceur, à la place du coeur, un tout petit point jaune, luminescent.

Elle s'en approcha, s'approcha, s'approcha assez prêt pour distinguer le reste, mourant, d'une petite flamme de bougie.

Que ce passe t-il ? lui dit-elle. Je meure, lui répondis faiblement la petite flamme.

Pourquoi meurt tu ?

Si tu savais combien j'ai souffert et souffre du froid, de la solitude, du manque d'amour,..., au moins, peut être la mort m'apaisera...

Mais tu ne peux pas mourir! Je t'aime moi; lui dit-elle en joignant ses deux mains de chaque coté de la petite flamme.

La petite flamme la regarda, eu un pauvre sourire.... ils pourrais, au moins, mourir apaisés.

Alors que la petite flamme s'éteignait elle aperçue son reflet sur ces mains qui la protégeais, elle n'avais plus froid.

Et plus elle en prenait conscience, et plus elle se sentais grandir et son coeur se réchauffer....
Quelqu'un les aimais...

Alors qu'elle continuait à grandir, un bruit sourd, venu dont on ne sait où, ce fit entendre.
"coucoumm",
il était loin, faible, mais il augmentais à chaque secondes et se bruit se rapprochais, s'amplifiait.
"coucoumm";"coucoumm".
Quand ce bruit devins régulier, la petite flamme brillait joyeusement dans la poitrine de l'ange. Au point que celui-ci avais repris connaissance, il vivait.....

Elle vain régulièrement, ils parlais, elle lavais les plumes de l'ange que le sang avais taché.
De loin ; la nuit, nous pouvions voir cette petite bougie qui éclairait, telle un phare, cette nuit froide et sombre.

Mais elle s'en moquais bien, la petite flamme, du froid et de l'obscurité, l'ange et elle était aimés... quelqu'un les aimais.....

Cela faisait quelques jours qu'elle n'était pas venu quand, ce soir là, pas de lumière dans la rue.

A tâtons, je m'approchais de là où, nous avions l'habitude de la retrouvées,
mais ce soir là, dans un dernier geste, l'ange me montra la petite flamme qui mourrais...

Je tendis mes mains pour la protéger, comme elle l'avait fait.
Je n'eus pas le temps, la petite flamme mourut...

L'ange avec elle...

A son coté, une feuille de papier blanc, pliée, ballottée par le vent.

Sur ce papier ont pouvais lire: "C'est fini, elle ne viendra plus, elle t'a oublié"

La veille au soir, un homme était passé dans cette rue que la petite bougie éclairait ....

Je ne savais pas que les anges aussi pouvaient mourir......

Ce texte et de moi, ce n'est pas que j'en soit fière mais il est le resultat d'une enorme peine. Alors soyez gentil de ne pas le sortir de son contexte, merci

Cet Image d'ange et issu du net !, elle ne m'appartient pas ! si vous savez d'ou elle viens (site) ou as qui elle appartient, VOIR la faire retirer dites le moi tout simplement"